No mercy! (Sin piedad) o «El imperio contraataca». #VenezuelaEsEsperanza #Cuba

Por Félix Edmundo Díaz @feddefe*

La frase que encabeza estas líneas coincide con el título de un movie (thriller), cuya factura es de donde ustedes saben, y la escogí casi al azar, pudo ser Star War  ‘El imperio contraataca’ o cualquiera otra que representase el porqué de los eventos que hoy vivimos… ninguno de los cuales es resultado del azar, y, también, para exponer cuál es la posición (hacia nosotros) de los que promueven esos eventos.

Observemos por unos minutos las ‘marquesinas’ (cintas de últimas noticias) de cualesquiera de las principales televisoras del planeta: La Jacobson se reúne en Cuba con la suciedad civil (léase mercenarios, lamebotas, falsosperiodistas, graduados de HPs ‘cum laude’ en cursos de la SINA) – Los putos ingleses incrementan presencia militaren Las Malvinas – Arabia Saudita invade Yemen – La policía mata a tiros a un joven negro en los EEUU – Nuevos planes desestabilizadores de los HPs  de la derecha venezolana – La OFAC borra a algunas empresas relacionadas con Cuba de su lista negra (y los incrédulos y los no tan incrédulos ‘hacen la ola’, anunciando el fin del Bloqueo) – Netanyahu se pone histérico en Washington – Obama se pone bravo con Netanyahu – Netanyahu amenaza a Irán – Irán se rasca los huevos – La Merkel no se pone de acuerdo con ‘el griego’ (parece que el heleno acojonó a la Canciller) – Poroshenko le está llenando las pelotas a Putin – La policía mata a tiros a otro joven negro en EEUU – China y los ‘77’ apoyan a Venezuela (pa’ que los gringos no se hagan los comemierdas) – etc. – etc. – www…; esto es lo que pasa en el mundo de hoy y todo, salvo el último led, se corresponde con un plan (uno de los tantos) para subyugar a miles de millones de seres en el planeta (nosotros ahí).

El petróleo obtenido por fractura, la devaluación del Euro, los asesinatos selectivos, las guerras silenciosas, las miniguerras, Boko Haram, el Estado Islámico, la unión de estos dos, la desestabilización en Venezuela, los fondos buitres vs. Argentina, el ¿cambio? de la política de EEUU hacia Cuba, nada es fortuito…

Es un plan y funciona con la precisión de una máquina de reloj SWISS MADE, el asunto es que cuando escuchamos hablar del Club Bilderberg, no debemos pensar en un pub inglés, en una marca de cerveza alemana o en un antro lleno de putas, me disculpo, sí debemos pensar en el antro lleno de ‘mujeres de la vida’ y de ‘hijos de mujeres de la vida’, que se reúnen cada año para planificar como esclavizar al mundo, oponiéndose a la resistencia de los inconformes.

Allí se apandillan dignatarios (que no son nada dignos), políticos (que, enfundados en trajes de miles de dólares/euros, en una oficina con ‘vista a la calle’ y tras un formidable buró, aprueban el uso de cárceles y vuelos secretos, los secuestros, los asesinatos selectivos, las epidemias que nos azotarán, sí, las epidemias y ataques bacteriológicos ‘terroristas’ que nos azotarán), los banqueros y economistas (que desatan crisis que nunca han sentido en sus pellejos), en fin, lo más selecto de lo que haya sido engendrado en los prostíbulos del planeta, cuyo único propósito es programar las directrices para ‘salvar al mundo, despedazándolo poco a poco’.

Si quiere saber cuán HPs son los ‘Bilderbergs’ solo tiene que leer a Daniel Estulin (The true history of Club Bilderberg, Editorial Planeta SA, 1ra edición: 2005, ISBN 84-8453-157-0), ah! les advierto que nada de lo escrito por este investigador es ciencia ficción o resultado de la teoría de la conspiración, y, por favor, ni  se moleste en buscarlo en la Enciclopedia Encarta de Microsoft, porque ni Bill Gates ni los genios que con él trabajan se enteraron jamás de que ‘esa gente’ existía… ¿quién dijo conspiración?

En resumen, solo quería alertarlos de que esta es nuestra intifada, debemos estar alertas y prestos al combate.

Por nuestras venas corre la sangre de Bolívar, Martí, Maceo, Gómez,  Sucre, O’Higgins, San Martín y el Che, de los guerrilleros, de los cientos de miles de secuestrados, torturados y desaparecidos (estudiantes, intelectuales y artistas), de los montoneros y los tupamaros, de los pobres de la Pachamama, y  esos son motivos suficientes y bastantes como para defender lo que, a sangre y fuego, se conquistó, suficientes y bastantes como para estar dispuestos a morir si fuera necesario.

Solo por ello, dándome a sí el derecho de gritar por la mayoría, les advierto a los enemigos de los pueblos que, en el campo de batalla, les devolveremos, no mercy, el golpe.

*Editor de La Mala Palabra.

 

 

 

 

7 comentarios en “No mercy! (Sin piedad) o «El imperio contraataca». #VenezuelaEsEsperanza #Cuba

  1. Les questions juridiques sur le décret d’Obama déclarant que le Venezuela représente une menace inhabituelle et extraordinaire sont l’expression de l’impérialisme colonial le plus pur, qui caractérise la politique étrangère des États-Unis.
    Suivant la pratique usuelle des vieux empires (et en décomposition), Barack Obama a demandé au Congrès d’approuver un décret – comme si c’était une question de politique intérieure – déclarant que le Venezuela représente une menace pour la sécurité intérieure des États-Unis. Ce décret vient soutenir une série d’actions en justice prétendant juger le Venezuela, comme la Loi sur la protection des droits humains et de la société civile proposée par Robert Menéndez et approuvée par le Congrès états-unien avec le soutien de Marco Rubio et Ileana Ross-Lehtinen, deux des plus vaillants lobbyistes en faveur du fascisme en Amérique latine.
    Dans le but d’appliquer le décret-loi de 2014, Obama reconfigure des décrets édictés dans des circonstances totalement différentes, comme celles de la Syrie. L’un de ceux-ci était la fameuse Alliance contre le financement du terrorisme, proposée par Obama dans un discours de politique étrangère tenu en juin 2014 à West Point. A cette occasion, il avait demandé au Congrès de consacrer un milliard et demi de dollars à une initiative de stabilisation régionale au Moyen-Orient, qui procurerait des ressources à l’opposition syrienne qui lutte contre la tyrannie d’al-Assad.
    En désignant le Venezuela comme une menace qui constitue un danger imminent pour la sécurité de la région et, par conséquent, pour les États-Unis, Obama, formulant son discours en termes de guerre de quatrième génération, affirme déceler un ennemi visible et une menace crédible. C’est une formulation favorite du gouvernement états-unien lorsqu’il recherche un soutien public à ses actions.
    La campagne contre le Venezuela, avec sa manipulation démoniaque des opinions états-unienne et mondiale, a atteint cette extrémité: la criminalisation du pays, la déclaration qu’il est une menace, le sujet d’une sécurité nationale maximum pour les États-Unis, justifiant d’autres actions que les États-Unis vont sûrement entreprendre.
    Pourquoi un décret urgent?
    Dans le cadre du droit international et de la législation états-unienne, un décret urgent pris par le pouvoir exécutif est en effet un chèque en blanc qui permet à l’exécutif de faire ce qu’il veut dans le but d’éliminer le danger censé être à l’origine du décret. Dans la conduite normale, quotidienne, de la politique étrangère, les décisions de l’exécutif sont toujours soumises à l’approbation du Congrès; ce n’est pas le cas pour une urgence qui requiert une action immédiate.
    Un exemple de ce type de législation est une loi signée par Obama en septembre 2014, qui autorisait le Pentagone à entraîner et à armer les rebelles syriens dans la bataille contre l’État islamique, et qui était aussi comprise comme une tentative de renverser le gouvernement de Bachar al-Assad, considéré comme une menace pour les États-Unis. Le cadre financier de cette décision se trouve dans un décret-loi de 2011, par lequel le Congrès a autorisé Obama à agir dans l’intérêt de la préservation de la paix au Moyen-Orient au moment où la situation en Syrie commençait à chauffer alors que la Libye était déjà en flammes. Cette loi faisait partie du prétendu Plan global pour la sécurité au Moyen-Orient, qui est fondamentalement une stratégie US pour assurer la stabilité politique dans des régions riches en énergies, renverser les régimes autoritaires et poursuivre la guerre contre le terrorisme.

Thomas Sparrow, correspondant pour la BBC à Washington, a affirmé ce qui suit: «Lorsque le président signe un décret qui déclare qu’un état d’urgence existe, il obtient des pouvoirs spéciaux qui lui permettent, par exemple, d’imposer des sanctions ou de geler certains actifs.» Le gouvernement états-unien reconnaît qu’il y a entre vingt et trente programmes de sanctions de ce genre basés sur des déclarations d’urgence et formulés dans un langage similaire à celui employé à l’égard du Venezuela. Ces dernières années, les États-Unis ont déclaré l’état d’urgence dans plusieurs pays, dont l’Ukraine, le Sud-Soudan, la République centrafricaine, le Yémen, la Libye et la Somalie; des pays avec lesquels Washington a ou a eu de mauvaises relations.
    En Libye et en Syrie, les sanctions ont commencé contre des responsables de ces gouvernements et des parents de Kadhafi et Assad, respectivement. Mais les sanctions ont tendance à être progressives et elles sont maintenues jusqu’à ce que l’intervention ait atteint ses objectifs. Les sanctions initiales sont habituellement suivies par de nouvelles sanctions qui sont appliquées pour «consolider les objectifs définis dans les sanctions initiales». Le régime de sanctions évolue souvent vers un embargo économique et militaire total débouchant sur de nouvelles actions judiciaires dans lesquelles les États-Unis soutiennent ouvertement des groupes paramilitaires et mercenaires qui ont engendré (et engendrent encore) des guerres civiles prolongées dans ces pays.
La question des droits humains est soulevée dans une tentative de justifier les actions contre le Venezuela, comme cela a été précédemment utilisé pour justifier les bombardements humanitaires de la Libye et l’armement de al-Nusra, la branche d’al-Qaida en Syrie, qui attaquait le gouvernement de Bachar al-Assad.
    Quel est le scénario le plus viable au Venezuela?
    Les différences entre le Venezuela, la Syrie et la Libye sont énormes, mais un facteur est toujours le même: le bellicisme des Américains qui, depuis deux cents ans, ont développé et affiné toutes leurs recettes pour mener des guerres ouvertes ou cachées dans le but de produire ce qu’ils appellent par euphémisme un changement de régime. La législation états-unienne prévoit que le pouvoir exécutif ne peut pas demander au Congrès l’autorisation d’intervenir ouvertement, à moins qu’il n’y ait une déclaration de guerre ou d’intervention formelle. Nous pouvons donc exclure la possibilité d’une invasion du Venezuela par des forces US régulières. Le consensus régional qui validerait une telle action n’existe pas: le Venezuela n’est pas seul.
    Ce que nous pouvons voir dans le cas du Venezuela, ce sont de nouvelles sanctions diplomatiques et économiques unilatérales, qui ne sont pas dirigées seulement contre des responsables officiels, mais sont étendues à tout le spectre économique et politique, dans une tentative de faire imploser l’économie et les institutions du Venezuela. Les sanctions des États-Unis tendent à être progressives: lorsque celles contre les responsables ne produisent pas le changement de régime désiré, elles sont considérées comme inefficaces et sont suivies par de nouvelles sanctions, plus sévères, jusqu’à l’asphyxie totale de la nation et la concrétisation du changement de régime consécutif.
    Un autre développement probable serait l’adaptation au Venezuela de la stratégie employée à l’égard de la Syrie: provoquer une guerre civile prolongée et violente pour parvenir au changement de régime. Cela a en fait déjà commencé, le conflit de basse intensité des paramilitaires guarimberos a débuté en 2014. Le précédent pour ce genre d’intervention est la guerre camouflée contre la révolution sandiniste au Nicaragua, menée par les paramilitaires de la «Contra» dans les années 1980.
    Ce ne serait que dans les conditions d’une guerre fratricide au Venezuela que les États-Unis seraient en mesure de hisser leur intervention à un niveau supérieur, qui leur permettrait de justifier toute action visant à préserver la paix dans la région.

Afin de parvenir à une véritable confrontation, les États-Unis devraient aussi approuver des décrets-lois autorisant la Maison Blanche à agir en faveur de la contre-révolution au Venezuela, soutenant le fascisme vénézuélien, comme ils l’ont fait avec les forces salafistes qui tentent de prendre Damas. En raison de la perméabilité de la frontière entre le Venezuela et la Colombie, des paramilitaires ont déjà infiltré le Venezuela, provoquant une situation favorable aux activités des mercenaires. Il est probable que les États-Unis sont déjà en train d’envisager sérieusement quelque provocation qui pourrait déclencher un conflit à grande échelle. Malheureusement, pour le paisible Venezuela et l’Amérique latine, tous les indicateurs journalistiques, économiques, politiques et militaires pointent vers cette éventualité.
    Les facteurs politiques qui provoqueraient une intervention au Venezuela atteignent leur apogée, à la fois interne et externe au Venezuela. Les facteurs internationaux pourraient avoir une influence considérable sur le style et la stratégie du comportement de l’Empire.
    La scène politique intérieure au Venezuela commence à changer. Depuis 2014, des sénateurs démocrates ont prévenu que les sanctions à l’encontre du Venezuela seraient contre-productives pour l’opposition vénézuélienne, entraînant de nombreux retards dans l’application de celles-ci. Mais cela a changé. La droite vénézuélienne a perdu encore plus de sa faible influence politique au cours de l’année électorale, incitant le Département d’État US à jeter la direction de l’opposition dans la fosse aux lions, sachant que 90% de la population vénézuélienne (selon une étude de Hinterlace publiée début mars 2015) rejette une intervention états-unienne.
    Nous devons nous poser la question: serait-il logique de croire que les services de renseignement états-uniens ont négligé ce détail? Ce serait absurde. Donc pourquoi la Maison Blanche a-t-elle décidé de détruire la base politique de l’opposition vénézuélienne? La réponse pourrait être évidente: ils ne croient plus que le scénario électoral démocratique soit une manière viable de provoquer un changement de gouvernement au Venezuela.
    Ce qu’ils envisagent très probablement est une intervention états-unienne camouflée au Venezuela, conduisant à une guerre civile prolongée. La question de savoir si une telle approche au Venezuela obtient du soutien ou pas n’est pas pertinente. Des enquêtes en Irak en 2003 ont montré que 87% de la population irakienne (y compris les opposants à Saddam Hussein) refusaient une intervention US, mais elle a eu lieu malgré tout, sous des prétextes variés. La deuxième raison importante – après les prétendues armes de destruction massive – était la libération d’un peuple opprimé. Donc, savoir si la population qui constitue l’opposition vénézuélienne manifestera son refus de l’intervention des États-Unis, comme les chavistes l’ont fait depuis quinze ans, est sans objet; le prétexte de restaurer la démocratie au Venezuela n’est plus aux mains de l’opposition, mais dans celles d’Obama.
    Les États-Unis ont franchi le seuil de l’intervention ouverte contre la révolution bolivarienne, ou, comme le dit le président Nicolas Maduro: «Obama a personnellement entrepris la tâche d’intervenir au Venezuela et de me renverser.»
    L’heure décisive a sonné.

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  2. Cuestiones jurídicas relacionadas con el decreto de Obama declarando que Venezuela representa una amenaza inusual y extraordinaria son la expresión del imperialismo colonial más puro que nos caracteriza la política exterior.

    Como es práctica común de los antiguos imperios (y descomposición), Barack Obama ha pedido al Congreso que apruebe un decreto – como si se tratara de una cuestión de política interna – diciendo que Venezuela es una amenaza para la seguridad interna de los Estados Unidos. El decreto admite una serie de demandas que reclaman juzgar Venezuela, como la Ley sobre la protección de los derechos humanos y la sociedad civil, propuesto por Robert Menéndez y aprobado por el Congreso de Estados Unidos con el apoyo de Marco Rubio e Ileana Ross-Lehtinen, dos de los grupos de presión más valientes a favor del fascismo en América Latina.
    A fin de aplicar el Decreto de 2014, Obama reconfigura decretos promulgados bajo circunstancias totalmente diferentes, como los de Siria. Una de ellas fue la famosa Alianza contra la financiación del terrorismo, propuesta por Obama en un discurso sobre política exterior en junio de 2014 en West Point. En esta ocasión, le pidió al Congreso a gastar el dinero de un billón y medio de una estabilización iniciativa regional en el Medio Oriente, que proporcionaría recursos a la lucha contra la oposición siria contra la tiranía de al-Assad.
    Al designar a Venezuela como una amenaza que plantea un peligro inminente para la seguridad de la región y, por lo tanto, para los Estados Unidos, Obama, por lo que su discurso en términos de la guerra de cuarta generación, dice detectar un enemigo visible y una amenaza creíble. Esta es una formulación
    favorito del gobierno de Estados Unidos en la búsqueda de apoyo público para sus acciones.
    La campaña contra Venezuela, con su manipulación demoníaca de las opiniones estadounidenses y mundiales, alcanzó esta extremidad: la criminalización del país, la declaración que es una amenaza, el sujeto de una seguridad nacional máxima para los Estados Unidos, justificando otras acciones que los Estados Unidos van seguramente a emprender.

    ¿ Por qué un decreto urgente?

    En el marco del derecho internacional y en el marco de la legislación estadounidense, un decreto urgente tomado por el poder ejecutivo es en efecto un cheque en blanco que permite al ejecutivo hacer lo que quiere con el fin de eliminar el peligro considerado estar al principio del decreto. En la conducta(conducto) normal y diaria, la política exterior, las decisiones del ejecutivo siempre están sometidas a la aprobación del Congreso; no es el caso para una urgencia que requiere una acción inmediata.
    Un ejemplo de este tipo de legislación es una ley firmada por Obama en septiembre de 2014, que autorizaba el Pentágono a provocar(arrastrar) y a armar(cargar) a los rebeldes sirios en la batalla contra el Estado islámico, y que también fue comprendido como una tentativa de derribar(trastocar) el gobierno de Bachar al-Assad, considerado como una amenaza para los Estados Unidos. El marco(ejecutivo) financiero de esta decisión se encuentra en un decreto ley de 2011, por el cual el Congreso autorizó a Obama a actuar en interés de la preservación de la paz en el Medio Oriente en el momento en el que la situación en Siria comenzaba a calentarse mientras que Libia ya estaba en llamas. Esta ley formaba parte del Plan(Plano) pretendido y global para la seguridad en el Medio Oriente, que es fundamentalmente una estrategia US para asegurar la estabilidad política en regiones Ricos en energías, derribar(trastocar) los regímenes autoritarios y perseguir la guerra contra el terrorismo.?
    Thomás Sparrow, correspondiendo para la BBC a Washington, afirmó lo que sigue: » cuando el presidente firma un decreto que declara que un estado de emergencia existe, consigue poderes especiales que le permiten, por ejemplo, imponer sanciones o helar ciertos activos. » El gobierno estadounidense reconoce que hay entre veinte y treinta programas de sanciones de este género basados en declaraciones urgentes y formulados en un lenguaje similar al empleado con respecto a Venezuela. Estos últimos años, los Estados Unidos declararon el estado de emergencia en varios países, entre las que estuvieron Ucrania, Sur-sudán, la República centroafricana, Yemen, Libia y Somalia; países con los cuales Washington tiene o tuvo malas relaciones.
    En Libia y en Siria, las sanciones comenzaron contra responsables de estos gobiernos y de los parientes(padres) de Gaddafi y Assad, respectivamente. Pero las sanciones tienden a ser progresivas y son mantenidas hasta que la intervención hubiera alcanzado sus objetivos. Las sanciones iniciales son habitualmente seguidas por nuevas sanciones que son aplicadas para » consolidar los objetivos definidos en las sanciones iniciales «. El régimen de sanciones a menudo evoluciona hacia un embargo total económico y militar que desemboca en nuevas acciones judiciales en las cuales los Estados Unidos abiertamente sostienen grupos paramilitares y mercenarios que engendraron (y todavía engendran) guerras civiles prolongadas en estos países.
    La cuestión de los humanos derechos es levantada(indignada) en una tentativa de justificar las acciones contra Venezuela, como esto anteriormente ha sido utilizado para justificar los bombardeos humanitarios de Libia y el armamento de al-Nusra, la rama de al-Qaida en Siria, que atacaba el gobierno de Bachar al-Assad.

    Cual es el guión más viable a Venezuela ?

    Las diferencias entre Venezuela, Siria y Libia son enormes, pero un factor(cartero) es siempre lo mismo: el belicismo de los estadounidenses que, desde hace doscientos años, desarrollaron y refinado todas sus recetas(ingresos) para llevar guerras abiertas o escondidas con el fin de producir lo que llaman por eufemismo un cambio de régimen. La legislación estadounidense preve que el poder ejecutivo no puede pedirle en el Congreso la autorización para intervenir abiertamente, a menos que hubiera una declaración de guerra o de intervención formal. Podemos pues excluir la posibilidad de una invasión de Venezuela por fuerza US regulares. El consenso regional que validaría tal acción no existe: Venezuela no es solo .
    Lo que podemos ver en el caso de Venezuela, son nuevas sanciones unilaterales diplomáticas y económicas, que no son dirigidas solamente contra responsables oficiales, sino son extendidas a todo el espectro económico y político, en una tentativa de hacer hacer implosión la economía y las instituciones de Venezuela. Las sanciones de los Estados Unidos tienden(alargan) a ser progresivas: cuando las contra los responsables no producen el cambio de régimen deseado, están consideradas como ineficaces y seguidas por nuevas sanciones, más severas, hasta la asfixia total de la nación y la materialización del cambio de régimen consecutivo.
    Otro desarrollo probable sería la adaptación a Venezuela de la estrategia empleada con respecto a Siria: provocar una guerra civil prolongada y violenta para alcanzar(llegar) el cambio de régimen. Esto ya comenzó de hecho, el conflicto de intensidad baja de los paramilitares guarimberos se presentó en 2014. El precedente para este género de intervención es la guerra camuflada contra la revolución sandinista en Nicaragua, llevada por los paramilitares de la «Dobló en los años 1980.
    Esto sería sólo en las condiciones de una guerra fratricida en Venezuela dónde los Estados Unidos se hallarían en situación de izar su intervención a un nivel superior, que les permitiría justificar toda acción que pretendería preservar la paz en la región.
    Con el fin de alcanzar(llegar) una confrontación verdadera, los Estados Unidos deberían también aprobar decretos leyes que autorizarían la Casa Blanca a actuar a favor de la contrarrevolución en Venezuela, sustenante el fascismo venezolano, como lo hicieron con las fuerzas salafistas que intentan tomar Damasco. Debido a la permeabilidad de la frontera entre Venezuela y Colombia, paramilitares ya se infiltraron Venezuela, provocando una situación favorable para las actividades de los mercenarios. Es probable que los Estados Unidos ya están contemplando seriamente alguna provocación que pueda poner en marcha un conflicto a gran escala. Desgraciadamente, para el apacible Venezuela y América latina, todos los indicadores periodísticos, económicos, políticos y militares apuntan Esta eventualidad.
    Los factores(carteros) políticos que provocarían una intervención en Venezuela alcanzan su apogeo, a la vez interno y externo en Venezuela. Los factores(carteros) internacionales podrían tener una influencia considerable sobre el estilo y la estrategia del comportamiento del Imperio.
    La escena política interior en Venezuela comienza a cambiar. Desde el 2014, senadores demócratas previnieron que las sanciones en contra de Venezuela serían contra-productivas para la oposición venezolana, provocando(arrastrando) numerosos retrasos en la aplicación de éstas. Pero esto cambió. La derecha venezolana perdió todavía más su influencia débil y política en el curso del año electoral, incitando el Departamento de Estado US que les echa(pone) la dirección de la oposición en el hoyo a los leones, sabiendo para que el 90 % de la población venezolana (según un estudio de Hinterlace publicado a principios de marzo de 2015) rechace(eche de nuevo) una intervención de los estados-unidos.
    Debemos plantearnos la cuestión: ¿ sería lógico de creer que los servicios de inteligencia estadounidenses descuidaron este detalle? Esto sería absurdo. ¿ Pues por qué la Casa Blanca decidió destruir la base política de la oposición venezolana? La respuesta podría ser evidente: no creen más que el guión electoral democrático sea una manera viable de provocar un cambio de gobierno en Venezuela.
    Lo que probablemente contemplan muy es una intervención estadounidense camuflada en Venezuela, conduciendo a una guerra civil prolongada. La cuestión de saber si tal enfoque(aproximación) en Venezuela consigue el apoyo o no no es pertinente. Encuestas(investigaciones) en Iraq en 2003 mostraron que el 87 % de la población iraquí (incluido los opositores Saddam Hussein) negaban una intervención US, pero se efectuó a pesar de todo, bajo pretextos variados. La segunda razón importante – después de las armas de destrucción masiva pretendidas – era la liberación de pueblo oprimido. Pues, saber si la población que constituye la oposición venezolana manifestará su negativa de la intervención de los Estados Unidos, como el chavistes le hicieron desde hace quince años, es sin objeto; el pretexto de restaurar la democracia en Venezuela ya no está en las manos de la oposición es, pero en las manos de Obama.
    Los Estados Unidos atravesaron el umbral de la intervención abierta contra la revolución bolivarienne, o, como lo dice el presidente Nicolas Maduro: » Obama personalmente emprendió la tarea de intervenir en Venezuela y de volcarme. »
    La hora decisiva de sonar.

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  3. ¿ Aproximación de USA con Cuba?
    Le gustaría a que todo esto fuera sincero. Pero, para que los Estados Unidos cambien de rumbo de manera tan brutal, hacen falta razones sólidas que ciertamente no son la liberación de dos americanos. Recordamos un guión similar con Muamar Gadafi, hecho de una sola vez(de pronto) el amigo de ellos todos, y vimos lo que resultó de eso. Cuando se sabe que las fuerzas al principio del embargo contra Cuba jamás renuncien, el guión aplicado contra Gaddafi no tiene que excluir contra el gobierno cubano. También sabemos que las negociaciones entre Moscú y La Habana para proteger buques rusos en la isla son bien acercadas(son bien adelantadas en). ¿ Es el primer paso para intentar quebrantar los lazos entre ambos países, o por lo menos, debilitarlos?
    Cualesquiera que sean las razones que empujaron los Estados Unidos a empezar la aproximación con Cuba, hay que guardar en cabeza que jamás hacen nada sin una idea detrás de la cabeza.

    Saludos desde Francia.

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